Kilomètre Zéro de Maud Ankaoua : entre périple dans l’Himalaya et voyage intérieur
Note de François : cet article m’a été proposé par Géraldine, une lectrice de Randonner Malin. Elle partage avec vous son avis sur un roman dont l’action se déroule au cœur des montagnes népalaises.
Premier roman de Maud Ankaoua, Kilomètre zéro a déjà séduit 2 millions de lecteurs. Alors, moi aussi, j’ai voulu me laisser embarquer dans ce voyage initiatique avec pour toile de fond un trek dans les époustouflantes montagnes himalayennes. Voici mon avis honnête sur ce best-seller qui deviendra peut-être le livre qui vous accompagnera pendant vos vacances estivales.
Arpenter les chemins de l’Himalaya malgré soi
« Maëlle, il faut que je te parle, retrouve-moi au 26 rue d’Ulm demain à 10 heures. »
Maëlle, c’est l’héroïne de ce romain. Lorsqu’elle reçoit ce message de la part de son amie Romane, elle n’imaginait pas ce que Romane allait lui annoncer : cette dernière est atteinte d’un cancer. Mais, face à la maladie, elle refuse de baisser les bras. Pour l’aider dans son combat, elle demande à Maëlle de lui rendre un immense service. Il s’agit de partir sur le champ pour le Népal dans le but de récupérer un manuscrit. Celui-ci contiendrait des enseignements ancestraux lui permettant de faciliter sa guérison.
Bien sûr, Maëlle hésite. Partir à l’autre bout du monde, du jour au lendemain, pour une « mission » aussi farfelue, ce n’est pas raisonnable. Et puis, elle a de lourdes responsabilités professionnelles. Elle ne peut pas s’absenter comme ça ! Toutefois, devant la détresse de Romane et l’envie d’apporter un peu de soutien à son amie, elle finira par céder.
Son plan était simple : prendre l’avion jusqu’à Katmandou, récupérer la fameuse méthode détenue par un scientifique américain et rentrer aussitôt. Tout au plus, elle sera de retour dans 3 jours. Mais, vous vous en doutez, les choses ne vont pas se passer comme prévu. L’Américain ne sera pas au point de rendez-vous. Il attendra Maëlle plus loin, beaucoup plus loin, au cœur des montagnes. Pour le rejoindre, elle devra suivre Shanti, un personnage mi-guide montagne, mi-guide spirituel. Leur périple sera l’occasion pour Maëlle de prendre du recul sur sa vie et sa définition du bonheur.
La marche en haute montagne, jalon de Kilomètre zéro
En entamant la lecture de ce roman, j’espérais que ce trek en montagne soit la scène de moments aventureux, où Maëlle serait confrontée à des difficultés typiques des grandes randonnées. Bien que l’auteure les évoque, ces difficultés n’occupent cependant pas une place prépondérante dans le roman.
On n’y parle ni de dénivelé positif, ni d’orientation et encore moins du choix des équipements. En revanche, il est tout de même question de quelques problématiques que rencontrent souvent les randonneurs.
La rigueur des nuits en refuge
Pour récupérer le manuscrit tant convoité, Maëlle doit partir pour plusieurs jours de marche dans les montagnes. Ici, pas question de bivouaquer. Elle, son guide et leur équipe (sherpa, cuisinier) passent leurs nuits dans des refuges. L’héroïne fait part de sa difficulté à s’adapter aux conditions parfois rustiques des établissements dans lesquels elle doit loger : un confort sommaire, pas de chauffage, un accès limité ou inexistant à l’eau chaude…
➡️ Pour aller plus loin : Tout savoir pour votre première nuit en refuge ou en bivouac.
La confrontation à des conditions climatiques extrêmes et la notion d’effort physique
Dans le roman, Maëlle n’est absolument pas prête physiquement pour un tel périple. Bien qu’elle aille régulièrement à la salle de sport, ce n’est pas une habituée des grands espaces, du dépassement physique et des hautes altitudes. Alors, quand elle doit suivre des itinéraires qui l’amènent à dépasser les 4 000 m d’altitude, elle se retrouve confrontée à des difficultés qui lui semblent insurmontables. Parfois à la limite de renoncer et de faire demi-tour, elle peut toutefois compter sur Shanti pour l’aider à dépasser ses limites sans se mettre en danger.
Les passages aériens et la peur du vide
Le dépassement de soi n’est pas que physique. Pour l’héroïne, il est aussi mental. Notamment lorsqu’elle doit affronter sa peur du vide et traverser des ponts suspendus peu engageants.
« Il est temps pour toi d’expérimenter la virtualité de la peur. Comme tu viens de le voir, le pont peut supporter d’énormes charges : des troupeaux entiers le traversent depuis des années. Il danse, il se déforme, mais il est toujours là ! »
Le Népal, toile de fond d’un parcours initiatique
D’habitude, je suis plutôt friande d’histoires vraies. J’aime les récits d’aventures, comme ceux de Mike Horn ou de Sarah Marquis. Si j’ai choisi de me laisser tenter par Kilomètre zéro, ce n’est donc pas pour son côté fictif. Mais j’étais curieuse de suivre l’histoire d’une femme non-randonneuse se retrouvant confrontée aux montagnes les plus légendaires qui soit.
📖 À lire aussi : Critique de Vouloir toucher les étoiles, de Mike Horn.
Je m’attendais à être plongée dans un décor et une ambiance qui me laisseraient rêveuse, et je n’ai pas été déçue. L’auteur décrit de manière assez poétique les panoramas somptueux que Maëlle aura la chance d’admirer sur sa route. C’est par exemple le cas quand l’héroïne est invitée par son guide à visualiser la forêt de rhododendrons ou à s’émerveiller devant le panorama offert par les imposants sommets enneigés.
« Face à toi, l’Annapurna Sud, ici, le Hiunchuli, et à notre droite, le Machapuchare. Admire et respire ! »
Mais, si l’Himalaya offre un cadre somptueux à cette histoire, il n’en est pas le centre. Ce qui bouleversera les certitudes de notre héroïne, ce n’est pas son trek, mais plutôt les différentes rencontres qu’elle fera sur son chemin.
Une histoire centrée sur le développement personnel de l’héroïne
Dans la vie de tous les jours, Maëlle est une directrice financière surchargée et que ne vit que pour son travail. Ce séjour au Népal est l’occasion pour elle (et de manière détournée pour le lecteur) de prendre du recul sur sa vision de la vie.
On retrouve donc dans ce livre beaucoup de passages orientés sur le développement personnel :
- comment notre ego influence notre vision du monde et comment nous en libérer ;
- comment changer nos relations avec les autres pour qu’elles soient fondées sur l’amour plutôt que la peur ;
- comment se recentrer sur l’instant présent pour ne pas vivre ancré dans le passé ou dans la crainte du futur ;
- etc.
Cela donne à Kilomètre zéro un petit côté feel good, même si je dois avouer ne pas avoir été totalement réceptive à ces « leçons de vie » enseignées par le guide Shanti. Ne vous attendez pas à accéder à des préceptes philosophiques poussés ou à des vérités transcendantes. Cela reste un roman 😉
D’ailleurs, je pense qu’il est nécessaire de le rappeler, car les lignes entre les éléments fictifs et réels sont parfois brouillées dans ce livre. Par exemple, Jason (le fameux médecin américain) présente à Maëlle les conclusions de l’étude du Dr Masaru Emoto. Ce dernier a réellement existé et a travaillé sur la « mémoire de l’eau ». Selon lui, une eau exposée à un message d’amour aurait une structure plus pure qu’une eau exposée à un message de haine. Comme le corps humain est principalement composé d’eau, nous pourrions, nous aussi bénéficier physiquement des bienfaits de ces vibrations aimantes. Toutefois, à aucun moment l’auteure ne rappelle que les conclusions des analyses d’Emoto sont très critiquées et ne sont absolument pas validées scientifiquement.
Ce livre de Maud Ankaoua est fait pour vous si…
Je ne vais pas vous mentir, si vous recherchez un récit de grande randonnée authentique ou un livre axé à 100 % sur la marche, vous pouvez passer votre chemin.
En revanche, ce bouquin vous plaira si vous cherchez une histoire sympathique pour vous détendre. Le style d’écriture est simple et accessible et le récit, bien qu’un peu convenu, se laisse lire très facilement.
Vous prendrez plaisir à suivre les péripéties de Maëlle lors d’une journée de repos entre deux randos. Si vous êtes réceptifs aux principes de développement personnel qui y sont évoqués, alors vous apprécierez d’autant plus votre lecture.
En bref : un roman sans grande surprise, mais avec un message apaisant et un cadre qui donne envie de partir en montagne.
« La puissance des montagnes te ramène à la petitesse de l’être humain. »
Si jamais vous souhaitez vous procurer le livre, vous pouvez par exemple le faire chez Eyrolles ou Cultura.
📚 Et vous ? Avez-vous déjà lu ce livre et qu’en avez-vous pensé ? Vous pouvez répondre dans les commentaires.
Je n’ai pas réussi à terminer ce livre.
Trop convenu, cette femme qui part faire un très sans aucune préparation comme si elle allait faire du shopping…
Et toujours les mêmes « pensées positives ».
Vraiment je n’ai pas du tout adhérer.
Bonjour j’ai lu ce livre et j’ai aimé les messages pour aller plus loin dans la prise de conscience du sens de la vie. Livre sur le développement personnel à coup sûr par contre simpliste sur cette ascension qui demande à mon avis une préparation. On part pas en haute montagne en faisant juste un peu de sport en salle et de la muscu…. Tout à fait d’accord cela diverti bien et sait nous tenir en haleine.
Je n’ai pas réussi à terminer ce livre.
Trop convenu, cette femme qui part faire un trek sans aucune préparation comme si elle allait faire du shopping…
Et toujours les mêmes « pensées positives ».
Vraiment je n’ai pas du tout adhérer.
J’ai lu ce livre et j’ai bien aimé,j’ai été pris par cette histoire et je l’aurais lu d’une traite,si j’avais eu le temps ,car je voulais absolument savoir la fin,en plus je suis allé au Népal ,dans le secteur ou se déroule l’histoire,cela m’a rappelé des souvenirs.j’avoue ne pas avoir tout compris,mais j’ai aimé
Bonjour, j’ai adoré ce livre ; beaucoup de souvenirs de mon trek du tour des Annapurnas sans guide ni porteur en 22 jours avec un sac de 20 kg, les belles rencontres, les villages entourés de ces sommets majestueux , les journées où la notion du temps n’existe pas, le lâcher prise complet. Tellement conquise par ce pays que j’y suis retournée 4 fois et c’est aussi le cas pour beaucoup de personnes.
Dans le même registre, je vous recommande le livre de Spencer Johnson » la méthode de l’alpiniste, une philosophie positive «
J’ai lu il y a pas mal de temps ( achat FNAC) et comme je ne l’avais pas pris pour un récit de montagnes je l’ai apprécié pour ce qu’il a été écrit, comme le rappelle l’autrice de bel article bien équilibré, un roman qui offre un cadre montagnard à une réflexion nourrie d’intention de développement personnel.
Pour parler Randonnée et Montagne, il y a Randonnée Malin 🥰
Bonjour,
J’ai commencé le livre, mais je n’ai pas réussi à me laisser emporter par l’histoire et par le style. Pas fait pour moi, mais d’autres, pourquoi pas!
Je n’ai pas du tout aimé. Une littérature Feelgood pleine de clichés et cousue de fil blanc. Un roman commercial à succès commercial. Je me suis efforcée avec peine de le finir, car on me l’avait offert. J’ai découpé la page de dédicace, et je me suis empressée de m’en débarrasser dans une boîte à livres! Et tant mieux si s’il a fait un-e heureux-se!
J’ai bcp aimé ce livre. Pour moi un bain de fraîcheur et une réflexion sur la vie , sur sa propre façon d’appréhender la vie, toujours bonne à prendre.
J’ai lu également : respire durant une rando en itinérante. J’ai trouvé adaptée à la circonstance. Et jamais sans moi que j’ai aimé également.
Ne pas lire les 3 à la suite à mon avis!
Bonne lecture
Bonjour, je suis en total accord avec Géraldine à propos de ce livre. Il faut se laisser porter par l’histoire de Maëlle sans attendre le récit d’exploits sportifs. Ce roman peut nous amener a réfléchir sur la façon dont nous menons notre vie et le bienfait de prendre un peu de recul de temps en temps. J’ai beaucoup aimé, et proposé ce roman à de nombreuses personnes.
On m’a offert ce livre avec un autre du même auteur. J’en suis un peu gênée, mais je n’arrive pas à le terminer, je n’accroche pas… Pourtant j’ai effectué un sérieux travail sur moi pendant des années ; c’est peut-être pour ça justement ! En tout cas ça ne me fait pas écho. C’est personnel, je conçois parfaitement que d’autres adorent. D’ailleurs le(s) livre(s) va terminer dans un box à livres !
Bonjour,
Merci François pour cette analyse très réaliste. J’ai lu ce livre la semaine dernière et je partage totalement votre point de vue à son sujet.
L’auteure a voulu mélanger truck et développement personnel mais il est nettement plus crédible sur le plan du développement personnel que du treck. Il est facile à lire et même s’il est vraiment très « téléphoner », l’ensemble est plutôt plaisant. Ei il y a quand même de grandes vérités sur notre mode de vie actuelle. Très bon livre de vacances
Bonjour à tous les commentateurs !
Je partage les avis plutôt négatifs sur ce livre que j’ai abandonné (ouf, bon débarras…) à la page 146 : direction la boîte à livres. Je n’en pouvais plus des réflexions philosophico-spriritualo-humanisto tarte à la crème, guimauve et très -pardonnez-moi – femme-femme un peu niaise. Vraiment, le début de ce livre m’a saoulé et m’est apparu trop artificiel. J’avais l’impression de voir et d’écouter un influenceur. Le Shanti ne m’a pas convaincu avec ses leçons… Bref. Passons à de vrais récits de vie et d’expérience même si on n’y adhère pas totalement mais qui ont le mérite d’être vécus. Du coup, je me suis jetée sur un classique qui ne se démode pas : les conquérants de l’inutile de Lionel Terray. Ça fait du bien. On n’a pas trop de temps à perdre, non?! Bonnes lectures à tous ! Et toi, François, que lis-tu en ce moment ?
J’ai lu ce livre en faisant le trek « camp de base de l’Everest » j’ai pris un grand plaisir. On rentre vite dans l’histoire. On vibre au fur et a mesure que les pages tournent.
Le travail sur soi et la remise en question devrait servir à beaucoup de personnes 🙏🙏
Bonjour, j’ai lu ce livre et je m’attendais à une histoire racontant un beau trek dans l’Himalaya avec des descriptions des montagnes et des chemins. Très très déçue ! Une histoire comme tant d’autres sur la remise en cause de sa vie et le dépassement de soi pour une femme absorbée par son travail et son besoin de réussite. Ce n’est pas ce que je cherchais. Ajouté à cela une romance tellement prévisible et un guide merveilleux et plein de sagesse tibétaine. On se demande comment ce personnage féminin pas du tout sportif – et oui la salle de sport d’une grande ville ne suffit pas pour faire de la randonnée surtout a ce niveau – peut être étonnée à ce point par les conditions de vie qu’elle rencontre surtout au début… Franchement je n’ai pas apprécié grand chose dans ce roman qui est un peu fourre-tout : la maladie, la prise de conscience de sa situation perso, le dépassement de soi, les conditions du trek, la sagesse bouddhiste, une histoire d’amour Stop ! C’est vraiment too much. Désolée pour ce retour négatif.
J’ai lu les 3 romans de Maud Ankaoua et j’ai bien aimé
Ne pas perdre de vue que sous une forme romancée c’est avant tout une leçon de développement personnel (c’est son job !) et dans la vie que nous vivons actuellement ce n’est pas inutile de rappeler quelques valeurs simples d’amour et de bon sens.
Pour celles et ceux qui ont fait Compostelle je vous conseille « plus jamais sans moi « le troisième roman ça vous rappellera des souvenirs !
Amitiés à tous les marcheurs et bravo François pour ton travail
Intéressantes toutes ces prises de position des commentateurs et commentatrices sur ce qui reste un « roman » et non un documentaire…J’ai moi même été gênée de retrouver beaucoup de clichés de notre époque et sur les dérives ou faiblesses humaines , mais c’est compensé par la volonté de faire émerger aussi de belles valeurs ou de belles réactions.
Je ne suis pas enthousiaste de mon côté.
L’initiative de communiquer sur nos exprériences de lecture est en revanche bienvenue!!
L’ouvrage de Stéphanie Bodet « A la verticale de soi » est à conseiller pour la qualité de son écriture et le charme de certaines évocations d’altitude!
« A la verticale de soi » est une recommandation que je partage totalement.
Merci à toutes et tous pour vos avis, c’est très enrichissant pour compléter la critique de Géraldine.
⚠️ ATTENTION DANGER
Oui j ai lu ce livre et tant mieux s’il fait beaucoup de bien à beaucoup de personnes
Je suis une amoureuse de la montagne et totalement convaincue de tous ses bienfaits tant physiques que psychologiques.
Mais ce genre de récit ( voir aussi « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’ en as qu’une« de R.Giordano) me fait hérisser les poils….
Ayant fait de l’alpinisme dans ma première vie, un séjour en haute montagne ne s’improvise pas…Déjà quand on est bien préparé , bien accompagné et conscient des difficultés qui peuvent survenir tout n’est pas si évident que dans les livres.
Le thème que j’ai aimé dans cette histoire c est la rencontre avec les autres car effectivement le milieu de la montagne et du dépassement de soi permettent en général de faire de magnifiques rencontres ( p-e pas au point de tomber sur le joli docteur)
Oui !il faut savoir et apprendre à être positif à sortir de sa zone de confort prendre des risques mais rester les pieds sur terre …
Des histoires d’ échec sont rarement publiées
Napoléon disait quand on veut fortement constamment on réussit toujours… ne le trouvez vous pas un peu megalo ce petit bonhomme.
Je rejoins les avis négatifs. Je n’ai pas terminé la lecture……………
Superficiel, invraisemblable, dans la mouvance de la mode actuelle pour le développement personnel mais en version « eau de rose », un livre sans intérêt à lire sur la plage pour ceux qui s’ennuient vraiment.
Désolée d’avoir un jugement aussi dur, mais ce livre ne va rien apporté.
Je rejoins les avis négatifs. Je n’ai pas terminé la lecture……………
Superficiel, invraisemblable, dans la mouvance de la mode actuelle pour le développement personnel mais en version « eau de rose », un livre sans intérêt à lire sur la plage pour ceux qui s’ennuient vraiment.
Désolée d’avoir un jugement aussi dur, mais ce livre ne va rien apporté.
Je l’ai lu.
Pour moi c’est un roman de gare, il permet d’attendre le train en retard, sans plus.
J’ai préféré le guide à l’héroïne.
Oui , trop convenu …
Lisez plutôt « L’abominable » de Dan Simons et partez pour l’Everest comme en 1924 sur les traces d’Irvine et Malaury … Vous n’en reviendrez pas 😱